A 20 ans, mais aussi après 50 ans, épargner est une bonne idée. Les projets et les perspectives changent, mais le mécanisme de base reste le même : en épargnant régulièrement, on est toujours gagnant. Que ce soit à titre personnel ou via un dispositif au sein de son entreprise, mettre en place un mécanisme d’épargne régulière, dès à présent, pour préparer sa retraite, est probablement la meilleur décision que vous pourriez être amené à prendre aujourd’hui.
Pourquoi épargner ?
Les arguments sont connus. Plus on épargne tôt, plus c’est rentable. Votre capital profite de l’effet « boule de neige » : les intérêts, les dividendes, etc…., viennent s’ajouter à votre capital qui, de ce fait, produit davantage d’intérêts, et ainsi de suite.
Dans le cas de l’épargne salariale, plus vous épargnez tôt, plus vous pouvez profiter sur un grand nombre d’exercices de l’effet de levier lié à l’abondement (jusqu’à 300 % de votre mise en respectant les plafonds).
Dans le cas de l’épargne personnelle (PERin), plus vous épargnez tôt, plus vous pouvez profiter de réductions d’impôts. Epargner tôt permet aussi de lisser son effort dans le temps : un investissement moins élevé mais répétitif se révèle plus rentable et plus facile à absorber par votre trésorerie (il est plus simple d’épargner 100€ / mois pendant 30 ans que 200€ / mois pendant 15 ans).
A l’inverse, il n’est jamais trop tard pour commencer à se constituer un capital. Ce sont simplement les objectifs qui changent. Même à l’approche de la retraite, cela reste judicieux. Par exemple, pour financer un futur achat coup-de-cœur que sa seule pension ne permettrait pas de s’offrir.
Les raisons qui poussent à ne pas épargner
Bien que partagés par un grand nombre, ces analyses ne se concrétisent pas toujours par un passage à l’action. Voici quelques raisons, parfois à l’œuvre dans nos arbitrages d’épargne :
- La procrastination : elle est considérée par les spécialistes comme une simple réaction émotionnelle erronée de défense, face à la peur ne pas savoir comment s’y prendre, ou à l’angoisse de ne pas être à la hauteur.
- Le statu quo : cette tendance nous conduit à préférer laisser les choses telles qu’elles sont. Tout changement nous apparaît spontanément comme porteur de plus de risques et d’inconvénients que de possibilités avantageuses.
- L’immédiateté : face à un grand bénéfice ultérieur, nous avons tendance à mécaniquement privilégier une petite gratification immédiate.
- L’omission : il s’agit d’un raisonnement qui nous fait considérer que commettre une erreur par une action serait plus grave que d’en commettre une par une non-décision.
En réalité, tout est beaucoup plus simple et positif: il suffit de m’envoyer un email ou de me téléphoner pour faire le point sur votre situation.
N’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations, je vous aiderai à mettre en place un plan d'épargne pour votre retraite.
Dirigeant d'Olea Patrimoine
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